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    Ah ! ces jeunes espagnols de pamplona ,rinco de soto...forcent le respect par leur courage ,leur maitrise corporelle , la coordination d'équipe et enfin leur sens du spectacle . Je pense que Hemingway n'aurait pas désavoué cette corrida new look ,ni meme le grand El Cordobes. Merci ,les jeunes.

    Note: La ville d'Oran ,en Algérie possède une belle arène qui,retapée ,j'imagine ,pourrait produire des spectacles de ce genre . Ce n'est qu'une suggestion ,mais qui sait ?...

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  • Un maitre inconteste du Haouzi .

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    Hamoud Boualem, le goût de l’Algérie depuis 1878

    Article publié dans le magazine Histoire d'entreprises Rubrique : Saga

    [Extrait]

    Le Selecto, vous connaissez ? Si vous avez vécu un jour de l’autre côté de la Méditerranée, il est probable que ce simple nom vous fasse venir l’eau à la bouche… Ce drôle de soda, qui a la couleur du Coca-Cola mais un goût de pomme et de bonbon, est fabriqué par Hamoud Boualem, une entreprise fondée en 1878 par un certain Youcef Hammoud, limonadier à Alger.

    Continuant de produire de la limonade et des boissons gazeuses, cette belle entreprise familiale, qui a vécu de nombreux bouleversements politiques et économiques, est toujours vaillante – c’est même la plus ancienne société algérienne encore en activité ! Coca-Cola n’a qu’à bien se tenir… La première limonade créée par Youcef Hammoud s’appelait la Royale - ©Archives Hamoud Boualem

    Officiellement, Hamoud Boualem voit le jour en 1878 – c’est en tout cas de cette année-là que date le plus vieux document officiel retrouvé par l’entreprise. En réalité, sa fondation remonte à la deuxième moitié du XIXe siècle : Youcef Hammoud, l’aïeul fondateur, est alors établi dans les faubourgs du quartier Belcourt (aujourd’hui Belouizdad) comme artisan « aromatiseur », c’est-à-dire comme distillateur d’arômes. Assez vite, il décide de passer le pas et, ajoutant du sucre et de l’eau gazeuse à ses essences de citron, le voilà qui se met à fabriquer de la limonade. Le succès arrive rapidement. En 1889, lors de la tenue de l’Exposition universelle à Paris, tandis que la Tour Eiffel est l’objet de toutes les polémiques, la limonade de Youcef Hammoud, elle, reçoit des félicitations unanimes et se voit récompensée d’une médaille d’or, section « hors concours ». Cette « première » limonade, qui s’appelle alors la Royale, reçut par la suite une dizaine de médailles d’or et d’argent, et même une « légion d’honneur » ! Elle existe toujours aujourd’hui : on la trouve, sous le nom de « Hamoud blanche », évidemment partout en Algérie mais aussi dans certaines épiceries et supermarchés français. Indémodable, elle reste une valeur sûre pour l’entreprise.

    DE HAMMOUD À HAMOUD C’est le petit-fils de Youcef, Boualem Hammoud qui, en 1924, crée pour de bon l’entreprise en déposant la marque « Hamoud Boualem ». Mais par la faute d’un greffier quelque peu distrait, l’entreprise Hamoud se voit privée d’un M ! Tant pis : « Hamoud » distinguera la société quand « Hammoud » qualifiera la famille – même si une telle distinction est un peu spécieuse, tant les destinées de l’une et de l’autre sont, et seront, liées. Boualem Hammoud installe son usine rue Hassiba-Ben Bouali (qui est toujours l’adresse du siège social), aux portes d’Alger, dans ce qui est alors la zone industrielle de la ville. En quelques années, il donne un essor très important à sa fabrique, hissant sa famille parmi les notabilités du pays. Lui-même sera honoré à Paris dans les années trente, comme le fut son grand-père, non pas cette fois pour la qualité de sa limonade, mais pour avoir participé avec d’autres à la construction de la mosquée de Paris. On ne sait pas si c’est Boualem, son père, ou son grand-père Youcef, qui présida à la création du Selecto. On sait seulement que son apparition date du début du XXe siècle – soit une vingtaine d’année après le Coca-Cola, créé en 1887 par John Pemberton, pharmacien à Atlanta. De la même couleur que le Coca-Cola, le Selecto s’appelle à ses débuts « Victoria ». Rebaptisé pour insister sur la sélection stricte des matières premières, ce soda est fabriqué à partir d’essence de pomme et, comme pour le Coca-Cola, sa recette est gardée secrète. On trouve son équivalent en Tunisie avec la Boga, une boisson qui a également un goût de cidre – avec la différence que la marque tunisienne a été rachetée depuis par la grande compagnie américaine !

    LA FAILLITE En 1942, coup de théâtre : l’entreprise Hamoud Boualem est mise en faillite et rachetée par un consortium de banques. Le talentueux Boualem Hammoud, sans doute un peu trop bon vivant, et entouré d’associés guère scrupuleux quant à la bonne tenue des finances, ne s’est pas suffisamment intéressé à la gestion de son affaire, qui prend l’eau de toutes parts. Celle-ci est donc vendue à des banquiers, qui s’empressent de la revendre à leur tour à la Compagnie des Boissons d’Algérie. D’où les publicités de l’époque qui mentionnent sous la bouteille de Selecto le nom des nouveaux propriétaires… Publicité sur le site web de Hamoud Boualem - © Hamoud Boualem Cette situation dure presque six ans. Six longues années à la suite desquelles un certain monsieur Hafiz se propose de racheter l’entreprise avec Youcef Hammoud, le fils de Boualem et arrière-petit-fils de Youcef le fondateur (comme beaucoup d’enfants à cette époque, il a reçu le prénom de son aïeul). Abderrahmane Hafiz n’est pas un inconnu : il s’agit du cousin germain de Youcef ; tous deux sont d’ailleurs mariés à des soeurs, ce qui ne fait que renforcer les liens ! Abderrahmane vient d’hériter de son père, décédé en 1942, un petit pécule ; trouvant dommage de le dilapider à droite et à gauche, il propose donc à son cousin de racheter avec lui les parts que possède la Compagnie des Boissons d’Algérie. Aussitôt dit, aussitôt fait (ou presque !). À eux deux, ils reprennent les rênes de l’entreprise et la transforment pour l’occasion en SARL – un statut qu’elle conservera jusqu’en 2008. Abderrahmane Hafiz s’occupe du côté commercial, des ventes, de l’exportation et de la publicité ; il restera dans l’entreprise jusqu’à la fin de sa vie, en 1995 ! Youcef Hammoud, lui, est l’homme de la technique. Beaucoup se souviennent d’ailleurs de son habileté à réparer les machines. Et son neveu, Mohamed Hafiz, de raconter l’anecdote suivante : « Un jour, un journaliste est venu l’interviewer ; il demande au chef d’équipe où est le patron de l’usine : il était sous une machine, les mains dans la graisse ! » Pour autant, « Hamoud Boualem » ne devient pas « Hafiz-Boualem », car la marque est trop connue pour supporter un changement de patronyme – déjà à l’époque, on dit « une Hamoud Boualem » pour une bouteille de limonade, comme on dit « une Peugeot » pour une voiture Peugeot… FACE À LA CONCURRENCE Durant la Seconde Guerre mondiale, l’entreprise n’a pas seulement subi une faillite : elle s’est aussi retrouvée devant une concurrence accrue. En effet, lorsque l’armée américaine débarque à Alger, en 1942, elle amène avec elle, comme partout ailleurs, les nouveautés du chewing-gum et du Coca-Cola. En 1949, une usine fabriquant le soda américain s’implante même à Belcourt, à côté de l’usine Hamoud Boualem !

    Mais les Américains ne sont pas les seuls à concurrencer le Selecto et la Royale : outre les petits limonadiers qui fabriquent une limonade artisanale, Hamoud Boualem se trouve face à des géants de la boisson comme Montserrat, célèbre négociant en vin (les pieds-noirs se souviennent sans doute du slogan « Mon vin sera Montserrat »), à qui Orangina a confié la mise en bouteille de sa boisson à l’orange. Viennent ensuite les établissements « coloniaux » : les Brasseries et glacières d’Algérie (BGA) et les Brasseries et glacières d’Indochine (BGI), devenues les Brasseries et glacières Internationales, rachetées depuis par le Groupe Castel, l’un des premier groupe viticole au monde. Bref, Hamoud Boualem n’a pas intérêt à s’endormir sur ses lauriers s’il veut continuer à garder une place de choix sur le marché national des boissons. Pour marquer le coup, l’entreprise lance le Slim, « le citron qui prime », un soda qui sera ensuite décliné sous d’autres parfums. Parallèlement, l’entreprise entreprend une stratégie de diversification. Ce choix est guidé par une raison très pratique : la saisonnalité de l’activité limonade. Les sodas et les boissons gazeuses se consomment en effet essentiellement l’été, l’hiver étant une période où la production baisse notablement. Pour équilibrer l’activité de l’entreprise, Abderrahmane Hafiz et Youcef Hammoud décident donc de créer, dans des locaux attenant à leur usine, une fabrique de pâtes alimentaires et de semoule. Et c’est ainsi qu’Hamoud Boualem devient – aussi – réputé pour son couscous ; l’on dit que les ouvrières (uniquement des femmes) roulaient alors à la main vingt à trente kilos de semoule par jour… (…)

    Claire Moyrand

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  • Parmi les anciens sportifs qui ont dignement représenté l'Algérie dans des compétitions internationales, il est de plus en plus rare de retrouver certains d'entre eux qui continuent jusqu'à présent d'activer au sein des fédérations sportives ou simplement pour entretenir une certaine passion vouée au sport.
    Braham Lahoubi constitue à lui seul le parfait exemple d'une génération de sportifs qui ont beaucoup donné au sport sans jamais rien attendre en contrepartie. Ils ont su transmettre leurs qualités morales, leur volonté et leur passion débordante pour cette discipline (plongée sous-marine, ndlr) au profit des jeunes. Braham Lahoubi est né le 20 juin 1933 à Saint-Eugène (Bologhine), il est le benjamin d'une famille respectable composée de plusieurs frères et sœurs. Ses deux frères, encore vivants, étaient de grands sportifs dans les années 1950/60 à l'image de Farid (champion d'Algérie en water-polo) et Mahmoud (champion d'Algérie en haltérophilie). Il n'a jamais eu l'idée de quitter son quartier d'où il apprit très jeune la natation. Mais son sport favori allait être la plongée et la chasse sousmarine. Avec El-Okbi Mahmoud, Baghlali Djelloul, Cherif Ahmed et Si Abdallah (ancien de la Protection civile), il a été l'un des fondateurs de la Fédération algérienne de secourisme, de sauvetage et des activités subaquatiques (FASSAS) en 1963. Il en fut très fier et se mobilisa constamment afin d'être prêt pour les futurs rendez-vous internationaux. Il suivit un stage à l'INS de Paris (France), en 1963, d'où il fut récompensé par un diplôme en natation. Il lança par la suite un appel aux jeunes pour adhérer à la Fédération et former des équipes pour représenter notre pays dans les différentes compétitions internationales. Participant aux tournois internationaux dans plusieurs pays, il eut le plaisir de côtoyer de grands plongeurs tels que Jacques Mayol (réalisateur du film "Le grand bleu"), Hugues Dessault, Gilbert Diaz (ancien français d'Algérie) avec lesquels il partageait des moments inoubliables de chasse sous-marine. Faisant le tour du Bassin méditerranéen, il participa à plusieurs épreuves en Italie, Yougoslavie, Turquie, France, Chypre, Malte, Egypte, et Tunisie. Lors d'un stage aux Etats-Unis, en 1973, il fit la connaissance de Don Jacklin (entraîneur du club de Portland), de Peter Dalan (club de San Francisco) ainsi que de George Hims (entraîneur de Mark Spitz, 7 médailles d'or aux J.O. de Munich 1972). Il ne cache pas sa satisfaction d'avoir participé à des compétitions à l'étranger : «Je garde un bon souvenir des Championnats du monde de Villa Carlos (Minorque, Espagne) où j'ai remporté le 1er prix (1985) ainsi que les participations à des compétitions internationales disputées à Mali Losinj (Yougoslavie) et Izmir (Turquie)». «Mon souhait, c'est de voir notre pays organiser un championnat du monde de chasse sous-marine, la zone s'y prête et les hommes ne manquent pas», ajoute-t-il. Mais pour Braham Lahoubi, tout en espérant de voir un jour son vœu se réaliser, il continue à sortir en mer en compagnie d'autres plongeurs pour s'adonner aux plaisirs que procure la chasse sous-marine. Actuellement, Braham Lahoubi est membre d'honneur au sein de la Confédération mondiale de chasse sous-marine.
    Sfindja Hamdane

    Source :Le soir d'Algerie.com

    Note perso : C'est des hommes de cette trempe dont l'Algerie a besoin et non des khorotos ! Une vaste experience ,de l'honnetete et de l'intelligence reunies en un seul homme ,que voulez vous de plus ? J'ai toujours reve d'une ecole de plongee a Bologhine (saint eugene) pour que nos jeunes profitent du savoir de ce grand monsieur du sport Algerien . Chapeau bas ,Monsieur Lahoubi.

    Le grand bleu

     

     

    Film dédié à Monsieur Lahoubi et tous les plongeurs Algériens ,sans oublier Farid El Okbi .

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    Tunisie - Tourisme médical : La crise est là, profitons-en !

    Mardi, 26 Mai 2009 14:42 By LA PRESSE

    Tunisie - Tourisme médical : La crise est là, profitons-en !La Jordanie vient d'annoncer un revenu d'un milliard de dollars au titre du tourisme médical. C'est une augmentation de 10% malgré la crise qui a porté préjudice au secteur du tourisme.
    Pourtant, nos amis jordaniens ne dorment pas sur leurs lauriers et ont décidé d'explorer de nouveaux marchés pour le moins inattendus puisqu'ils proposent leurs services à des pays comme le Tchad, le Nigeria, le Kazakhstan et l'Ouzbékistan...

    Ces pays sont riches mais pas encore développés. En outre, juillet prochain verra débarquer à Amman les représentants de pas moins de 100 compagnies d'assurances américaines voulant nouer des contrats avec les hôpitaux privés jordaniens pour prendre en charge les malades américains.
    Pourquoi cela et pourquoi maintenant ? Tout simplement parce que c'est la crise et que les compagnies d'assurances occidentales veulent réduire leurs coûts, elles recherchent partout dans le monde des structures hospitalières de qualité mais dont les prix seraient bas. Voilà donc le moment de saisir des opportunités, la Tunisie a des soins de qualité à des prix défiant toute concurrence, nous sommes bien placés pour nous positionner sur ce segment. Nous avons commencé timidement à explorer le tourisme médical, mais c'était le fait de quelques initiatives privées, le moment est venu de s'engager radicalement dans cette voie et d'en faire une de nos politiques de santé. La crise est néfaste pour certains mais peut être bénéfique pour d'autres si on sait en profiter. Que nous manque-t-il ? Rien ou presque rien, il faut s'organiser différemment.
    Aucune compagnie d'assurances n'enverra un seul malade à une institution hospitalière si celle-ci n'est pas certifiée internationalement. Demandons à ce que nos structures soient certifiées. Changeons notre système de cliniques par des hôpitaux privés, il y a une seule différence entre les deux, c'est l'adoption de protocoles de soins internationalement reconnus, c'est-à-dire au lieu que chaque docteur improvise une conduite à tenir, tout le monde fait la même chose selon des standards internationaux, c'est simple et souvent moins coûteux. C'est aussi plus efficace car adopté selon des critères objectifs de la médecine basés sur l'évidence, critères que tout le monde utilise aujourd'hui et qui sont reconnus par toutes les compagnies d'assurances du monde. Le ministère de la Santé tunisien pourrait exiger ces critères dans toutes les structures, cela n'augmenterait pas les coûts et pourrait être une source de rentrées substantielles pour le pays.
    Une fois réalisés ces ajustements, il ne reste qu'à démarcher les grandes compagnies d'assurances en Europe mais aussi en Amérique et dans les pays où le système de santé n'est pas performant. La médecine tunisienne a déjà fait ses preuves, la crise est là, profitons-en.

    Source :http://www.investir-en-tunisie.net 

    Ma petite reflexion perso :Bientot la delocalisation ,comme dans l industrie,des cliniques privees occidentales vers les pays emergents pour reduire les charges que representent les couts des salaires des medecins et chirurgiens !!! Sans oublier des normes ISO dans la pratique chirurgicale!

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