• Entrevue improvisée en janvier 2019. Mon père était très malade et épuisé mais il trouvait la force de créer de la beauté ! Il me disait mon fils le Très Saint Maître des Univers est Beau et Il aime la Beauté, Essayons d'en être dignes !
     
    « La cage n'empêche pas l'oiseau de chanter » - Mohamed Aib
     
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  • À l'âge de 66 ans, mon père Mohamed Aib après une lutte sans relâche contre le cancer, à rendu l'âme lundi le 16 décembre à 15h. Son enterrement s'est déroulé au cimetière musulman de Montréal hier mardi à la même heure. Outre son épouse, il laisse dans le deuil ses deux enfants.
     
    C'était un homme de bien et il était aimé par tous ceux qui croisaient son chemin. Il lègue un héritage culturel considérable qui profitera non pas uniquement aux enfants de l'Algérie qu'il chérissait tant, mais de manière plus générale aux amoureux de la beauté. Repose en paix papa ! Ton fils adoré Walid.
     
    Je prendrai la relève de ce blog. Petite vidéo (un trésor d'information!), inchallah la première d'une série de plusieurs autres à venir. Alger racontée par un de ses anciens !
     

     

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  • Les algériens contre les élections seraient des mécréants » selon les Zaouïas

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    Islam (Algérie ) – Les algériens qui seraient « contre les élections présidentielles du 12 décembre, sont des mécréants, ennemies jurés du peuple et ne méritent pas d’être enterrés dans les cimetières des musulmans ». C’est ce qu’affirme le syndicat des Zaouïas algériens sur sa page facebook, hier le 11 novembre. Une sorte de « fatwa » qui suscite une vive polémique sur les réseaux sociaux.

    Ainsi, le syndicat théocratique regroupant les derniers temples du soufisme en Algérie et qui était l’un des soutiens inconditionnels de Abdelaziz Bouteflika, prend position en faveur de la feuille de route d’Ahmed Gaid Salah.

    En revanche, cette nouvelle sortie controversée du syndicat des Zaouïas, a provoqué une large indignation. Des internautes dénoncent « L’instrumentalisation de la religion à des fins politiques ». D’autres rappellent le rôle historique qu’ont joué ce « genre de  Zaouias en soutenant l’establishment ». Des activistes et blogueurs accusent les Zaouïas de collaboration avec la colonisation. Selon eux, les Zaouïas ont qualifié la colonisation française de « Destin imposé par Dieu, dont chaque musulman doit accepter et ne pas contester ».

    Lire aussi  tebboune élude les questions qui fâchent

    Deux visions s’opposent pour l’avenir de l’Algérie

    Pour rappel, deux visions se confrontent actuellement en Algérie. La première soutenue par le puissant chef d’Etat Major Ahmed Gaid Salah. Celle-ci, brandit la légitimité constitutionnelle comme seule issue à la crise que traverse le pays. Prônée par les résidus du système de Abdelaziz Bouteflika et ses réseaux ainsi que ses organisations satellitaires. La solution, selon eux, consiste en l’élection d’un président de la république le 12 décembre prochain.

    L’autre vision opposée, est réclamée par les millions de personnes qui manifestent chaque vendredi en Algérie et ailleurs. Ils réclament une période de transition avec l’élection d’une assemblée constituante. L’argument principal serait de remettre en cause la constitution écrite par l’ancien président. Une constitution qui offre des prérogatives impériales au président de la république.

    Lire aussi  magistrats-ministre de la justice : la rupture

    L’Islam politique et les Zaouïas, un atout de propagande

    En Algérie et depuis l’indépendance, les politiques ne résignent pas à sortir la carte de l’islam politique. S’il est interdit à l’opposition de se servir des mosquées et des Zaouïas, le pouvoir n’a jamais trouvé de gène dans leur instrumentalisation.

    Les Zaouïas ont à mainte reprises mené compagne pour Abdelaziz Bouteflika. Leurs rôle était prépondérant lors des quatre mandats successifs. Le syndicat des Zaouïas était l’un des organisations satellitaires les plus zélées à appeler le président déchu, de briguer un cinquième mandat.

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    L’Algérie a importé pour au moins douze millions de dollars canadiens d’armes et munitions en provenance du Canada durant les mois de juin et juillet derniers, soulevant des inquiétudes d’ONG canadiennes quant aux risques que ces armes puissent « jouer un facteur dans l’exacerbation des menaces » sur les libertés individuelles et les droits de l’homme en Algérie, rapporte, ce samedi 19 octobre, le média canadien CTV News.

    3,3 millions de dollars d’armes conventionnelles fabriquées au Canada (armes à feu et munitions) ont été exportées vers l’Algérie durant le mois de juin, tandis que 8,6 millions de dollars ont été exportés vers l’Algérie depuis le Canada en juillet, détaille la même source qui cite les données Statistics Canada, l’organe national canadien de statistiques.

    Les données concernées n’incluent cependant que les exportations d’armes et pas la vente de véhicules ni d’équipements d’imagerie ou de formation, de même que les données n’incluent pas la réexportation d’armes en provenance d’autres pays que le Canada. Ces catégories constituent ensemble la majorité des ventes d’armes par le Canada chaque année, précise CTV News, indiquant l’Algérie a notamment importé pour plus de 334 millions de dollars en équipement militaire depuis le Canada en 2018.

    Fait notable, l’Algérie a importé depuis le Canada durant les deux mois de juin et juillet plus de « parts et accessoires d’armes et de munition » que durant les dix dernières années combinées. L’Algérie a même importé 17 fois plus d’armes à feu et munitions, précise la même source, faisant de l’Algérie le premier client dans cette catégorie en 2019.

    Cette forte augmentation de la vente d’armes vers l’Algérie a provoqué des inquiétudes auprès d’ONG canadiennes. Kelsey Gallagher, chercheuse au groupe de surveillance de la vente d’armes Project Ploughshares, a estimé que cette forte augmentation vers l’Algérie était « inquiétante compte tenu des menaces en cours sur les libertés individuelles et les droits de l’homme dans le pays, et la possibilité que ces armes puissent jouer un rôle dans l’exacerbation de ces menaces ».

    CTV News rappelle quant à lui que l’Algérie a été décrite par Human Rights Watch comme étant une nation qui « interdit l’entrée aux observateurs de l’ONU, punit les manifestations publiques non autorisées, emprisonne les journalistes, persécute les minorités religieuses et autorise les hommes qui kidnappent des enfants à échapper aux poursuites s’ils épousent leurs victimes ».

    Source: TSA ALGERIE   19 Oct. 2019 à 10:34

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  • Banksy, Devolved Parliament, 2009

    Yetnahaw Ga3 !

     

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