• Quand le dernier arbre sera abattu
    La dernière rivière empoisonnée
    Le dernier poisson capturé
    Alors seulement vous vous apercevrez
    Que l'argent ne se mange pas

    Prophétie d'un indien Cree .

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    David Dare Parker 
    Embryos displayed for research purposes in a room at the Peace Village within the Tu Du (Freedom) Obstetrics and Gynaecology Hospital in Ho Chi Minh City, Vietnam. 
    [Agent Orange, Vietnam] 
    2010, September 
      
    Colour image 
    Provided by the artist - David Pare Parker 
    © David Dare Parker 

    L'agent orange, créé par la multinationale Monsanto, est en fait rose et brunâtre, et doit son nom aux bandes de couleur orange inscrites sur les fûts dans lesquels il était stocké. De même furent baptisés les agents blancbleu,rosevert et pourpre.

    Ce produit était d'usage courant et utilisé dans l'agriculture aussi bien aux États-Unis qu'en URSS, dans les années 1960, on ne pensait pas alors qu'il était toxique pour l'être humain.

    Ces herbicides furent utilisés pour défolier les forêts et ainsi empêcher les Vietnamiens de se cacher, pour détruire leurs récoltes, mais aussi de dégager les abords des installations militaires américaines et y prévenir les attaques.

    Ces opérations de guerre chimique débutèrent en 1961 avec le feu vert du président John F. Kennedy, et furent progressivement intensifiées jusqu'à atteindre leur apogée en 1965. Elles diminuèrent ensuite progressivement et finalement cessèrent en 1971, suite à de nombreuses protestations dans le monde et aux États-Unis même, de la part de scientifiques, d'un certain nombre de parlementaires et surtout d'anciens combattants américains.

    L'Académie nationale des sciences des États-Unis estime aujourd'hui que près de 80 millions de litres de ce défoliant ont été déversés. Selon Franz J. Broswimmer dans son ouvrage Ecocide, cet épandage a touché 20 % des forêts du Sud Vietnam et empoisonné 400 000 hectares de terrain agricole.

    Le 8 décembre 2006, le quotidien The Guardian rèvèle que Sir Richard Dollépidémiologiste et toxicologue anglais réputé, célèbre pour avoir établi le lien entre l'usage de tabac et le cancer du poumon a été sous contrat de mai 1979 à mai 19861(période durant laquelle il aurait reçu selon The Guardian 1 500 dollars par jour de Monsanto et cela durant un an1 ). C'est durant cette époque qu'il a affirmé à une commission australienne qu'il n'y avait pas de relation entre le cancer et l'agent orange. Richard Doll aurait aussi reçu de l'argent de l'industrie chimique durant plus de vingt ans selon le quotidien. Il avait, avec son collègue Sir Richard Peto, produit en 1981 un article concluant que seuls 1 à 3 % des cancers avaient une cause environnementale2.

    En réponse au refus de la justice américaine de juger l'utilisation de l'agent orange, un tribunal d'opinion présidé parJitendra Sharma s'est tenu du 15 au 16 mai 2009 à Paris. Sans portée juridique, ce tribunal vise à définir les responsabilités dans l'utilisation de ce défoliant et à la dénoncer devant l'opinion mondiale3.

    Source : Wikipédia

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  • ENTRETIEN

     

    LE Dr AIB AMAR, CHIRURGIEN, MEMBRE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE CHIRURGIE PLASTIQUE, RECONSTRUCTRICE ET ESTHÉTIQUE : 

    «La culture du tissu humain constituera à l'avenir une interface biologique immense» 

    Dr Aïb exerce depuis quelques années déjà, en France comme en Algérie. Durant son parcours, il a côtoyé d'éminents chirurgiens dans la discipline et auprès de qui il s'est «familiarisé». Dans cet entretien, il nous parle de son expérience et de l'avenir de cette discipline en Algérie.

     Quelle place occupe la chirurgie esthétique, réparatrice et reconstructrice dans le domaine de la santé globalement ?
    Dr Aib Amar : dans le domaine de la chirurgie esthétique, c'est le patient qui est en quête de beauté, de bien-être et souhaite retrouver une certaine jeunesse. Dans la chirurgie réparatrice et reconstructrice, c'est justifié par une condition pathologique. La chirurgie réparatrice répond à un problème médical, donc couvert par la sécurité sociale.

    Quelles sont les interventions les plus courantes dans notre pays ? 
    Il me semble qu'il s'agit de la lipoaspiration, des plasties abdominales et de la rhinoplastie

    Ya-t-il une différence entre la demande qui se fait en Algérie et ailleurs ? Est-ce que les Algériens ont des besoins spécifiques ? 
    Non, pas spécialement. La chirurgie esthétique possède un dénominateur commun. Elle est donc universelle. Je ne vois aucune spécificité. Beaucoup d'Algériens se font opérer en Europe et j'en suis témoin.

    Cette chirurgie n'est pas destinée seulement à l'esthétique, puisqu'elle prend aussi en charge ce qu'on appelle les urgences traumatiques de la face. Pouvez-vous nous en parler ? 
    En effet, la fonction et la forme sont indissociables. On privilégie en premier la fonction, puis arrive la forme. En un mot, la chirurgie réparatrice restaure et améliore l'apparence. Elle est donc médicale. La chirurgie esthétique complète le résultat à la demande du patient.

    Les techniques ont-elles évolué durant ces dernières années ? 
    En effet, les techniques de base restent au-devant de la scène, mais les moyens techniques permettent un peu plus d'audace. Je prends l'exemple de la technique du lifting R.A.R du Dr Bezin, consistant à mobiliser tout le visage et le rajeunir avec moins de cicatrices, et ce grâce à des matériaux nouveaux. Par ailleurs, on peut parler de la culture du tissu humain, qui constituera une interface biologique immense à l'avenir. 

    Quels sont les risques et éventuelles complications dans ce genre d'intervention, notamment dans les pays où elle en est à ses balbutiements comme l'Algérie ? 
    Il faut le dire, toute chirurgie comporte des risques. Il s'agit des risques inhérents à toute intervention chirurgicale : hématome, infection, mauvaise cicatrisation. Cela nécessite le recours à des retouches et donc un contact permanent avec son chirurgien pour ce faire remédier. 

    On critique souvent les relations un peu trop étroites qui existent entre la chirurgie esthétique et l'argent… 
    Ce n'est pas tout, sinon j'aurai choisi, un autre parcours moins stressant

    Quel est le pourcentage d'hommes et de femmes qui ont recours à la chirurgie esthétique ? Les femmes sont-elles réellement plus concernées que les hommes ? 
    A l'heure actuelle, la prédominance est féminine, quoique ses dernières années l'homme a moins de réticence pour y recourir. 

    Par Amina Azoune (Jeune Indépendant)

    Voir la page du journal en PDF

    Dr Aib Amar ,3 avenue Colonel Lotfi ,BEO ,Alger

    http:www.aibamar.com

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  •   Aménager la cote Algérienne ,changer les mentalités , et vous avez ,sans prétentions , un paradis haut de gamme ! Rêvons alors !

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