• Allah yarahmak ! A l'honneur de l'intelligence Tunisienne .La culture ,la mémoire ,la modestie ,la poesie meme d'un homme Juste et Authentique .

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  • Docteur en Sciences Politiques et Sociales (spécialisation en économie politique) de l’Université de Florence, en Italie, Riccardo Petrella est professeur à l’Académie d’Architecture de l’Université Suisse italienne où il enseigne «l’écologie humaine ».

    Par ailleurs, il est professeur émérite de l'Université Catholique de Louvain en Belgique. Fondateur et Secrétaire général du Comité International pour le Contrat Mondial de l'Eau, il préside l'Acquedotto Pugliese, la Société de gestion de l'eau des Pouilles, dans le sud de l'Italie.

    Docteur honoris causa de l'Université d'Umeå (Suède), des Facultés Polytechniques de Mons (Belgique), de l'Université de Roskilde (Danemark), de l'Université du Québec à Montréal (Canada), de l'Université Catholique de Bruxelles (Belgique), de l'Institut Polytechnique de Grenoble (France), Riccardo Petrella demeure un intellectuel qui milite activement au sein de la société civile.

    Il a débuté sa carrière à Rome en 1965 en tant qu’assistant du Secrétaire Général du Comité pour le Développement des Sciences Sociales en Italie.

    En 1967, il travaille à Vienne (Autriche) au  Centre européen de Recherches en Sciences Sociales de l’UNESCO dont il sera nommé Directeur en 1970. Ses champs de recherche sont le développement régional, l’innovation technologique, la recherche comparative transnationale. En 1978, il rejoint la Commission des Communautés européennes dans le cadre du Programme FAST (Forecasting and Assessment in Science and Technology). Il dirigera ce programme jusqu’en 1994.

    Conseiller à la Commission européenne en matière de politique de la science et de la technologie entre 1997 et décembre 2003, Il fonde à la même époque le Groupe de Lisbonne, auteur d’un ouvrage Limites à la Compétitivité (disponible en 12 langues, y compris le coréen et le chinois).

    Il a été aussi le fondateur en 1992 et premier secrétaire général de la European Interuniversity Association for Education on Society, Science and Technology (connue en tant que ESST) regroupant 15 universités européennes.

    Il a été également pendant trois ans professeur au Collège d’Europe à Bruges et à l'Université de Liège. Il a été "Visiting Professor" dans plusieurs universités au Canada, aux Etats-Unis, au Brésil, en Argentine, en Corée du Sud et dans de nombreux pays d'Europe occidentale.

    Il a présidé, depuis 1992 jusqu'à octobre 2000, une Association pour l’Université européenne de l’Environnement (Paris).

    Depuis 1997, il a fondé le Comité International pour le Contrat Mondial de l'Eau, présidé par Mario Soares. Père de trois enfants, il est devenu grand-père de Charlotte, née le jour de l’éclipse solaire du 11 août 1999, de Matteo ( novembre 2001) et de Alba (octobre 2004).

     

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Un esprit engagé ,d'une pétillante intelligence . La fabrique de l'appauvrissement !  Son site personnel :http://www.riccardopetrella.eu/

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  • L’annonce, lundi, du lancement d’un mandat d’arrêt international par la justice algérienne contre l’ex-ministre de l’Energie et des Mines Chakib Khelil a suscité beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux. Cependant, et concernant un éventuel procès de Chakib Khelil, les internautes jugent qu’il s’agit d’un «simple coup médiatique».

    Salima Akkouche - Alger (Le Soir)
    La nouvelle a vite fait réagir les internautes. 
    Le mandat d’arrêt international lancé par la justice algérienne contre Chakib Khelil et sa famille a enflammé la Toile. Les internautes se disent, ainsi, sceptiques quant à une éventuelle présentation de l’ex-ministre de l’Energie et des Mines devant la justice algérienne. Selon de nombreux commentaires, l’ex-ministre et «ami proche du président de la République Bouteflika » est «intouchable ». Les facebookeurs considèrent donc cette annonce de «carnaval fi dechra». Beaucoup ont, par contre, fait le lien entre cette affaire et celle de Moumen Khalifa. 
    «Ça sent l’affaire Khalifa, beaucoup de bruit pour rien», écrivait un internaute sur le réseau facebook. «C’est comme le mandat lancé contre Khalifa depuis dix ans et toujours rien», a posté un autre. 
    D’autres estiment qu’étant de nationalité américaine, l’ex-premier responsable du ministère de l’Energie et des Mines «ne sera jamais extradé». A ce sujet, un internaute s’est interrogé : «N’est-il pas temps que l’Algérie mette en place une loi interdisant aux citoyens possédant la double nationalité d’occuper de hauts postes d’emploi dans le gouvernement ?». 


                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Par ailleurs, si l’affaire Chakib Khelil est largement commentée sur la Toile, c’est aussi beaucoup plus la justice algérienne qui prend la part du lion. 
    «Ce sont les Italiens qui ont ouvert le dossier, s’il n’y avait pas eu cette enquête et le mandat d’arrêt lancé par le parquet de Milan contre Bedjaoui, le gouvernement algérien aurait gardé le silence sur cette affaire dont les éléments sont connus par les autorités algériennes de longue date», a posté une internaute. «La justice algérienne n'a aucun mérite dans ce qu'il faut bien appeler un fait italien», a-t- on posté. Pour d’autres, si la justice algérienne s’est enfin réveillée pour prendre l’affaire en main, c’est uniquement dans le but «de protéger ce proche ami du clan Bouteflika». 
    «On lui a offert une porte de sortie sur un plateau d'or (plutôt que plateau d'argent), on fait traîner l'affaire au maximum, on récupère 0% des richesses détournées», a posté un internaute sur le réseau Youtube. Ont peut lire aussi sur le même réseau, «ce mandat d'arrêt international n'est-il pas une manière pour l'Algérie d'extraire Chakib Khelil à la justice italienne et par la même occasion le protéger ?». 
    Et aussi, «la justice a attendu jusqu’à ce qu’il vende tous ses biens pour décider de les lui saisir». Les internautes qui estiment que l’ancien ministre n’a pas agi seul se demandent : «À quand le tour du commanditaire ?». Dans ce sens, les commentaires vont bon train. Exemple : «La justice, si justice il y a, doit entendre aussi, ceux qu'ils l'ont désigné ministre de l'unique ressource de l'Algérie et l'ont maintenu à son poste plus de 10 ans». Cette annonce de mandat d’arrêt international est ainsi commentée sur les réseaux sociaux par un «simple fait médiatique sans suite». 
    S. A.

     

    Note perso : Il faut absolument récupérer jusqu'au dernier centime TOUTES les sommes colossales détournées !Le bonhomme ? On en a rien à cirer ! Il est temps de nettoyer les écuries d'Augias . La situation de corruption généralisée doit etre éradiquée sous peine de mort de l'Algérie avec en plus la malédiction de nos martyrs ! Itass Itass mazal elhal ! Comme l'annonçait le poete ...

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