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vent du koudia | 08 février 2009
Photo d'un cireur "un yaouled"qui faisait vivre toute une famille sous le joug de la colonisation.Il fait partie de notre mémoire collective .Nous n'oublierons jamais comment le Colonialisme à traité nos enfants courageux .Un seul héros:le peuple .
Vent du Koudia
M'cid fatah, la falaqua redoutable
Beignets croustillants du Tounsi
Cinéma de quartier, airs de Bombay
Nous étions tous Géronimo
Surf sur les escaliers de la Casbah
Citronnades, Place de Chartres
Soldats sénégalais claquant leur solde
Bab-azoun, refuge des Oulémas et des bijoutiers
Boutiques de Sidi Abdellah
Djemaa lihoud , synagogue incongrue
La saignée ; exorcisme masculin.
Barbiers des escaliers siamois
Odeurs exotiques sgdg
Sidna ramadhan approche ; Alger devient sensuelle
Brise de mer sur le djebel koukou
Chantale , erroumia , n'est pas pour les yaouled
Interdiction d'aimer, d'afficher
Kermesse populaire à la mairie
Seul , tuméfié , sur le ring à boxer ma solitude
Dar el ghoula a Sidi bish
Les siakines viennent de passer
Sirènes du port, contrechant des remorqueurs
Charlie chaplin enchanteur
Cigarettes à la criée Hao Melia, Bastos lietkieef
Bandes dessinées, ronda interdite
Soupli ou ekcheff ! Bezga !
Traîner dans les souks
Cireurs malicieux au Square bresson, vendeurs de m'hadjeb
Scouts El falah, Sidi Abderahman
Premiers baby-foot , premières claques sur la gueule !
Le cirque Amar nous ramène Zavata
La mode était au Picasso
Sedjiourat ensoleillée
Nordine rêvait d'une puch rouge
Marins pomponnés quêtant la rue N'fissa
Pudique Mosquée Sidi m'hamed cherif
Ma tante et mon douro perdu dans la cour
Rue de nuit. Zenkat leqtout
Soustara. L'ecole Sarrouy
Enfants accroupis sur le perron
Mustapha, mon frère comme tu me manques ce matin.
Gargotiers, rue de la lyre. Le marché
Les paras peureux, arrogants bien nourris
Dolma technologiques
Des James Dean pour indigènes
Attentas annoncés pour ce soir
Derniers symptômes du sevrage colonial
El harki rahou marqué
Coloriage en secret du drapeau
Dockers ; la Casbah pleure et retient sa rage
Décompte des minuteries
Les soutanes deviennent discrètes
Amori a eu 18 balles sur sa chemise pour tes 18 ans
Tata Fatima , cesseras tu de pleurer après ta mort ?
Ballet funèbre des ambulances ensanglantées
Lucioles d'espoir. Maison natale plastiquée dans la nuit .
Nous chanterons à voix basse Ali la pointe.
Bateaux, mouchoirs maladroitement agités
Le Kairouan, s'éloigne ; la baie est triste
Sirènes, les clandestins se taisent
Les guezanats tatouées délient la langue
Henné, œufs et le cash
Nos djinns en chômage face au colonisateur
Jamais aux amants décus.
Boulevard joyeux des hirondelles frivoles
Le pain sera partagé avec nos voisins
Chapelets, lecture têtue ; angoissée du Coran
Escaliers de l'opéra, talebs et femmes accroupies
Zoudj ayoun et le cul des possédées
7 petites vagues et puis s'en vont
Bab el djedid, fantôme des brocanteurs disparus
Carcasse d'avion, trophée aux Tagarins
Serkadji n'est pas loin, la finga a disparu
Allah akbar des condamnés à mort
Ceux qui tremblent pour un oiseau
El badji avait sa guitare et son pot de basilic
Enfants heureux de jouer dans un cockpit rouillé
Kermesse sous un rempart de la Casbah
Ya hammam ellouane ya sidi Slimane
Cheikha Remiti chante au bord de l'oued
L'amour, l'oubli, la Pills baveuse
Frites et merguez au charbon
Révoltes joyeuses.
Course des zoufris ; Salat el maghrib
Vite le poisson encore frais
Fourneaux à pomper à épingler
Colliers de jasmin sur le cou des adolescentes
Feuille de menthe dans une narine : sourire de nos vieux
Bruits nasillards. Musique de el anka
Patisserie de Zinet ; fleur d'oranger
Meknassia éternelle, langoureuse
You-you des vierges en floraison
Danses à notre Liberté.
Derboukas déchaînées .
Serkadji et Lambèse seront détruits
H'ssina la chienne dingue de khalti h'niffa
Corvée d'eau du puits à pomper
Joueurs de tchecktchika sous tension
Couteaux à cran d'arrêt, Okapi ouverts secrètement
Vendeurs de Mhadjeb à la sauvette, les américaines font la moue
Bientôt le Ramadhan, les bougies, l'encens
Pétards, visite des malades et salut aux morts.
Karantika et bagnats chez Mme ferra
Ammi said, brochettes savoureuses
Oublades frétillantes, clair de lune
Bouqalats ; fabuleuse dérobée des âmes meurtries
Parasols multicolores
Puis la Madrague en Septembre
Café salé. Eau coupée
Suédoise traînant maladroitement son fennec sur la plage
Nancy, ton Raspoutine a résisté plus que moi
Charme d'un hiver complice
J'ai passé ma jedba khalwi
Héritage de ma djellaba
Erreur d'aiguillage du Destin
Peinture ratée, rue des Seigneurs
Mort à l'arrivée
Paris, rue de la Gaîté Montparnasse
Reer vers la chambre universitaire
Frais de mission : zéro.
Toilettes étroites, bruyantes
Couloirs, écouloirs humains
Manchons au fromage, thon à la cathalane
Fondue savoyarde ; avances gourmandes
Guitariste, quarantaine en crise
Heureux comme un âne dans la pampa
Zoom sur tes yeux
Emballage de mon triste voyage .
Hôtel à Belfort
Chocolat suisse et bière bruxelloise
Saoulographie avec ma barmaid punk
Oublier l'usine, ses éternels figurants de métropolis
Baba salem dans ma tête
Maman grille le café réconfortant
Terrasse, tapis ruisselants ; la glissade et les enguelades
Amour éthylique, barbouille émotionnelle
Le départ était toujours au rendez vous.
Déceptions. Amertume ; arrière-goût de grenade
Boire, marcher, courir
Mets ton chèche et cours
Cours enfoiré, cours !
Y'a du ketchup sur ta cravate
Le tapis de prière m'attend
Marathons de prières en salle d'attente
Aveugle .Voir, sans regarder.
Centre Pompidou ; oui pompez tout de l'Afrique
Et si on te violait ta grand-mère l'Europe ? hein ? hein ?
Groupe des Andes sur le parvis
Cracheurs de feu, amuseurs polyglottes
Amanda avorte pour garder sa job
Retrouvailles ; clapotis des anecdotes.
Les sous en as tu ?
Hôtel, garçonnière , quartier chinois
Nouilles piquantes , nihao sensei !
Fond de bouteille de whisky
Chromes toi les dents et attaque
Pyjama sur le bord du lit
Radio à fond ; du rock et la chicha
Oum kaltoum, les camps de réfugiés
Mimétisme des embrigadés
Sexualité de bestiaire ; insulte à notre noblesse
Sabra et Chatilla ; nouveaux charniers cachères . Thora militarisée
Les cèdres du Liban se maquillent au napalm
Marcher, fumer du hasch, traverser le temps
Ablutions, trêve de soi
De toi.
Tunis
Avenue de France
Incolore, inodore
Gares pleines, mosquées vides.
Librairies digérées par les gargotes.
Barbes Rochechouart
Pin pon éternel des flics en mal de ratons
Zetla partout
CRS et chiens de meilleure race
Trains de banlieue taggés a mort
Voleurs à la tire
Crétins de barmans jouant à vie aux supérieurs
Métro sale, bruyant ...fascinant
La Seine miroir tranquille des Octobre assassins
Mes amis bouquinistes, bourlingueurs
Le marais, rue du Diable
Musulman en redingote
Faire chier les bigots et les bigotes
Fine pluie ; air de timidité
Pont Marie traversé chaque soir
Le sexe en bandoulière
Provoquer la fortune dédaigneuse
Dolorès, le Louvre, Soirée au Fauconnier
Visa pour nous revoir, jamais obtenu.
New York, Manhattan
Brooklyn des pushers menteurs
Madison square Garden, petit jardin
Surtout ne pas fredonner mon -strangers in the night !
Epuisé au petit jour frileux
Le port. Porte-avions assoupi
Derniers clients des after-hours enfumés
Macadam authentique ; changer mes godasses
Files de la pauvreté en 3D
Tu vois de tes yeux man !
Le lumpen est là avec sa gueule sympa
Avec sa réalité terrible, horrible
Papa disait -marches ou crèves -
C'était la Corse, Monte Cassino, Berlin
L'Indochine refusée, ensuite ici, oui ici et encore ici !
La chair algérienne est appréciée partout.
Amazighs naïfs de générosité.
Centre mondial du commerce, fumerolles
Le sol bouge, vaste gruyère de voyageurs anonymes
Métropolis, graffitis caméléons ; vengeurs
Envie d'une Selecto Hamoud Boualem
Tahia el djazair !
Sadia, stupide rendez vous au café du départ
Rencontre sur l' île Saint Louis
Imprévu sur mon zodiaque de con
Des glaces savoureuses en hiver
Je portai du cuir
Tu le travaillais à vie.
Absence, manque toujours renouvelé
Strass des laissés pour compte en souffrance
Chorba et ghorba
Personne à Central parc
Montréal me manque
Un bec , des câlins mortels
Pays trafiqué en système fini à l'infini
Corps d'apocalypse en spécial
Voyeurs aux cornets de chips , hypoqueteux !
Gratteurs souriants aux dollars arrimés
Ça bouffe, boit et prend du fun
Sous l'œil de Big-brother
Île des 99 sous et des TPS à décorer les Westmount volés
Ville iso, izaane 9002
Maquette d'humanité , hein Pierrot !
Frigos cadenassés des colocs frustrés
Immigrants sous perfusion financière
A l'hôpital du Bien-être social coudonc !
Line, caaline! y a trop de crabes dehors
Ville de mes deux qui ne plait qu'a l'entre-deux
On devient anar ou salaud, ici !
Hommes -produits avec date de prescription
Réincarnations d'actes manqués
Météo ; balcons vides à enneigés
Aux ressources humaines, tout est mercantile.
Parking des retraités, pendules de l'ennui
Thérapie sexuelle puis ...rien
Taxis arabes, vendeurs de bagels
Mel hmara latayara !
Lavage, séchage de mes slips dans les aéroports !
Et alors ? C'est toi qui paie les factures ?
Boutiques criardes de nouveautés made in china
Hi salut Tripoussah et tes pommes d'amour
Les doigts collants de barbe à papa
Douros chapardés
Azzedine soignait sa colombe à la pénicilline
Tipaza, restos à l'ombre des ruines
Thé sur charbon de bois d'amandier, Bérard
Cascade, fontaine des souhaits
Marabout ; repère matrimonial
La mer, toujours bleue. Enigmatique
Le Dahlia sous la brise amoureuse
Taxi clandestin à la place des martyrs
Passes moi ta boite de chique, la vraie bentchicou
Là c'est bien calé, démarre
Hé Hocine rappelles toi
Talaguileff, Azazga, forêt de pins expectorante .
Ouvres ta fenêtre et mets ton pull
La neige, réveillon au canard laqué ...hallal !
Sidi hbibi ya dellali , rots de musique
Bûche de noël, ridicule modernité à signaler chef !
Poussière de route
Ghardaïa l'extraterrestre
Cris d'oiseaux apaisés, jardins
Seguias de vie chatoyante
Ciel bleu à en crever
Citronnade et gâteaux de miel
Hypoglycémie à gérer !
Stores vénitiens, pénombre
Guerbas fraîches offertes au passant
Goût de guetrane inoubliable.
Antidote des ennuis existentiels
Tamanrasset , vent de sable suffocant
Cessna abandonné sur le tarmac
J'ai du thé 71 dans la cabessa
Souk cruel des clandestins
L' Athakor, crinière de désert
Akhamok ; course sur la Nationale 1
Laghouat nous emmerdait
Marcha z'habits, octaves de vieillesse
Zoudj bibane, zibleu
Nila et toutia pour les girelles
Fumet affolant de bouillabaisse
M' sieu Solbes ; cocas et fougasses mortelles
M' cid lazine, cerfs-volants au dessus de la Basilique
Alger la bien gardée, générosité divine
Dar el Alia, El koutoubia, le Triangle
Ouarda, tu m'as vu grandir
Je t'ai vu partir le cœur barré , en chantier
Les roses en plastique décoraient toutes les tables
Les messamaats pastichent les hommes
Théières brillantes si discrètes
Micros toujours mal réglés
Gerbe d'épis de blé chez Sido
Malek joue pour les nouveaux riches
Pour les utérus biens vacants , dégriffés
Les pédophiles déguisés en machos !
Les bien pensants et les trous de cul
Ceux qui maudissent toujours leur plaisir adoré.
Les alcolos soufis et casuistes
O mon Dieu, protèges moi de Toi, chez Toi.
Epuisé de musique
Indifférent aux miroirs , aux turbulences mentales.
Rêve d'Amazonie, j'aurai voulu la suivre
Cœur en blues, Rai tu dérailles !
Le désir en machette
Scrupules en bûchettes.
Tu me suis ?
Prière à Casablanca
Airs de Gnawa, fumée et fleurs d'orangers
Cigales ménopausées
Petite vendeuse de roses , malchanceuse
Maman de ta famille déchirée
Fierté anonyme , zellige méconnu
Fille de mon cœur.
Forêt de Bainem
Route sinueuse ; portions de méditerranée
Tourbillon d'eucalyptus, de cèdres
Amoureux angoissés, excités
Boulomanes ; grillades et gouinche
Pétanque au crépuscule
Bérets, moustaches rieuses
Salut à toi monsieur Makassi
Hé kiki, le Mouloudia jouera demain à Santodji
J'étais amoureux de Nadia.
Le temps jouait à la trampoline
Mensonges, casuistique de cassettes repiquées
Elle s'en foutait.
Ou est tu Bendou ?
Les Dj's prennent du speed rembourré
Zeralda leur appartient, tu l'as craché
Naïfs de vie et de force.
L'argent ; du bendir électronique
Johnny come-on, bye bye
Rastafaris pour baiser, fumer, boire et jouer au foot
Kilomètres de destin partagés
Inquiétudes de nos mamans en mode rassdmaya
L'aube ; rentrer à l'heure des vampires
Bejaia, sardines grillées en bas sur le port
Taxis bus vides
Cocoricos, crieurs bios
Yema gouraya maternelle
Place gueydon, kamir et camembert
Les abricotiers sont en fleur à Metlilli
Sidi Abdelkader el djillani, couscous au dromadaire
Fête à sebseb, you-you des femmes en beauté
Les chevaux caracolent , d'autres chient sous cape
Odeur de baroud et de méchoui paresseux
Les sloughis sont assoupis.
Sidi Thameur veille.
Yalah va t'en !
Fini le temps des cartes postales nougats
Corruptions, putes, alcool et musique
Obligation de réserve sous réserve
Passeports trafiqués
Douaniers riches ,vicieux ,arrogants
Malek joue pour les nouveaux riches et leurs moquettes renouvelées .
Boat people préfabriqués
Ambassades débordées .Oliviers abandonnés
Neige rouge à Chréa
Poupées aux poubelles. Prisons débordées
Siwak, claquettes
Hidjab 1, haïk 0
Culte de l'excéma sur le front
Enfance interdite.
Puis les bombes et du sang sur le pavé
Roulette russe de la violence broyeuse d'ADN
Manipulations , noyautages
Harcèlement auditif de décibels en folie
La voix des ânes ne s'entend plus.
Macabres crimes prémédités ; Vidéo-clip quotidien
Fossoyeurs demandés , cimetières , charniers débordés
Temps sataniques ; œuvres sanglantes
Plat du jour ; Cadavres à l'explosif
Mensonges, casuistique de cassettes à bon marché
Le religieux flirte avec les boites à gants.
Rouiched a été balafré , Saïd assassiné
Ksentini tu as de la visite !
Hôpitaux ; L'horreur quotidienne.
Mimétisme des embrigadés
Sexualité de bestiaire ; insulte à notre noblesse
Au djihad el Akbar !
Catharsis violente des refoulements
Obsédés de pouvoir, d'argent et de gloriole
Roitelets de villages terrorisés
Egorgeurs de bébés , pyromanes
Avec Dieu pour seul public !
Au début le sourire sur leur gueule, ensuite le dernier ...
En dessous, métallique, sur la tienne.
Terreur au souffle bâillonné
Légalisation du crime ? technique éprouvée .
Fatwas anonymes , foi détournée ; ordres de tuer
Purification ; sale mot ! Dégueulasserie criminelle
On se frottera les mains au pétrole de Hassi Messaoud !
Et la queue dans les Hilton , Sheraton
Dans les casinos , les banques salopes
Décolonisation ? remets toi au 110 volts
Islam détourné , dénaturé par un daltonisme enragé .
Mur de Berlin en Palestine ; escale technique
Nazisme blanc , terrorisme névrotique
Peuple magnifique , otage des volontarismes crétins .
Mise à jour géopolitique de la trique !
Rires volatiles des peuples soumis au bakchich
Puis le wagon , Shoah , des déportés économiques du FMI
Nouveaux goulags , autochtones préfabriqués
Le flouss , la chipa , keuh !
Le chien de mer a disparu des meida,il a le gout des harraga
Oumma oula houkouma !
Cadeaux cyniques ; linceul et flacon de parfum
Crasse culturelle sur la grâce des martyrs
Dividendes politiques dilapidés
Mémoire ? Amnésie organisée , diluée
Bourse en hausse, l'indice Kalachnikov le prouve
Honte à nous.
Trabendistes de notre avenir atomisé.
Union ! Pas les réunions !
Ni blonda , ni villa , ni Honda !
Reste toi même , oses
Le voyage ne dure qu'une vie .Grattes moi le dos !
Et les orphelins, Qui les respecteras ?
Qui leur apprendra qu'ils seront notre fierté ?
Avec ou sans accusé de réception.
L'enfer ? c'est le travail au Paradis !
Moloch se nourrit par fournées de générations importées
C'est ça la vraie gestion des stocks !
Appétit féroce théorisé ,stigmatisé ...re-théorisé
Terrorisme en col blanc ,scientifique quand il te ... !.
Règne de la délation mondialiste , délétère .
Du G7 comme du G rien !
Saint prophète, comme tu me manques !
La Mecque est toujours ouverte aux sanglots du Repentir.
Au pardon.
Je prierai enfin , avec mes enfants et ceux des autres
Jetables ou non
Respectant votre couche d'ozone ! les Nobel bidon
et l'ONU moribond !
L'Adhan n'a jamais cessé ...
Oumma encore ligotée .
Corrigez Moudjahidine par Moudjtahidinne
Je répète :Moudjtahidine
Merci mademoiselle .
Les fautes de frappe sont pour les bombardiers hyper sophistiqués !
Ne me fait pas croire ce que tu n'est pas .
Extrait "relevé psychiatrique d'un anonyme ".2005
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Tags : paris, poesie, me, enfance, montreal, Alger, santodji, casbah, vent du koudia, yaouled, moudjahidine, moudjtahidine
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Commentaires
meme si l on n a pas vecu cette époque, grâce à ton verbe si emouvant, tellement profond, eh bien, on y est ! bravo, mon ami !