• La traite juive :Le role choquant des juifs dans l esclavage

    David Duke  cite les historiens juifs qui attestent du rôle dominant des Juifs dans l’esclavage en occident depuis au moins l’époque des Romains et décrit la censure des médias concernant ses révélations sur ce rôle dominant dans le commerce d’esclaves.

    Rabbin hollandais: « Les Juifs ont profité de l’esclavage »

    5000 esclaves vivaient dans 40 plantations appartenant à des Juifs en

    rabbin-hollandais-Van de Kamp

    Guyane hollandaise

    Un rabbin néerlandais est sur ​​le point de publier un livre rappelant l’implication des Juifs hollandais et de leurs ancêtres dans le commerce des esclaves.

    « L’argent venait des communautés juives d’Amérique du Sud, en partie grâce à l’esclavage, et est arrivé en Hollande par la suite, où les banquiers juifs s’en occupaient », a dit le rabbin Lody van de Kamp à l’Agence télégraphique juive (JTA). « Les non-juifs ont également été complices, mais nous aussi. Je me sens en partie complice ».

    Van de Kamp, 65 ans, est parmi les rabbins orthodoxes les plus connus aux Pays-Bas. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la communauté juive néerlandaise et fait de fréquentes apparitions dans les médias.

    esclavage-juifSon prochain livre, un roman historique intitulé « L’esclave juif», retrace le parcours d’un marchand juif du 18ème siècle et de son esclave noir alors qu’ils enquêtent sur les plantations néerlandaises du nord du Brésil dans l’espoir de convaincre les Juifs de se départir de la traite des esclaves. En faisant la recherche pour le livre, van de Kamp a fait des découvertes qui l’ont choqué.

    Selon l’article de JTA publié mardi sur le site d’information israélien Times of Israël, van de Kamp a appris que 5000 esclaves vivaient dans 40 plantations appartenant à des Juifs en Guyane hollandaise. Connu sous le nom Jodensavanne ou la savane juive, la région comprenait une communauté juive de plusieurs centaines de personnes avant d’être détruite lors d’un soulèvement des esclaves en 1832. Ils ont presque tous immigré aux Pays-Bas, apportant avec eux la richesse qu’ils avaient accumulée.

    Sur l’île antillaise de Curaçao, les Juifs néerlandais auraient participé à la revente d’au moins 15.000 esclaves, selon Seymour Drescher, historien à l’Université de Pittsburgh. A un certain moment, les Juifs contrôlaient environ 17% du commerce des Caraïbes dans les colonies néerlandaises, précise M. Drescher.

    Les Juifs étaient si influents dans les colonies que les ventes d’esclaves qui pourraient avoir lieu pendant les fêtes juives étaient souvent reportées, selon Marc Lee Raphael, professeur d’études juives au collège William & Mary.

    Aux États-Unis, le rôle des Juifs dans la traite des esclaves est un sujet de débat scientifique depuis près de deux décennies. En Hollande cependant, la question de la complicité juive est rarement discutée (source)

     

    La traite arabe, sous ensemble principal de la traite orientale, désigne le commerce des êtres humains sur un territoire qui déborde largement l’aire arabe.

    Les négriers n’étaient pas exclusivement musulmans ou arabes mais pouvaient parfois être berbères, persans, juifs mizrahim, indiens, javanais, malais ou chinois

    Les royaumes africains ont activement participé à ces entreprises, à des degrés divers (certains émirats du Sahel, comme Kanem-Bornou, l’Ouaddaï ou le Mahdiyah vivaient principalement de la traite orientale1).

    L’un des plus grands centres de concentration et de vente d’esclaves, Tombouctou, accessible aux seuls musulmans, se situait hors de l’aire politique arabe proprement dite, mais non de sa zone d’influence culturelle. D’un point de vue occidental, le sujet a été nommé « traite arabe », parfois « traite musulmane »2, voire « barbaresque ».

    Al Andalus : comment juifs et musulmans se sont entendus pour réduire les Blancs en esclavage

    traite-arabo-musulmaneIl convient de s’arrêter un instant sur le rôle fort ambigu des juifs dans cette surprenante conquête arabe [au VIIIè siècle ap. J-C].

    Au cœur de l’Andalousie islamique, et à l’inverse des Ibères indigents, l’émancipation des juifs est en effet édifiante. Jouissant d’une grande liberté, les fils d’Isaac occupaient des emplois éminents dans le commerce, la haute fonction publique, la finance, la littérature, et pouvaient accéder à des postes de responsables dans toutes les branches professionnelles, sauf dans l’armée, qui était la chasse gardée des fils d’Ismaël [musulmans].

    Polyglotte par nature, le juif errant parlait, outre l’hébreu, sa propre langue, le latin, le grec, l’arabe, et parfois des dialectes germaniques. Diplomate, aimable, reçu par les empereurs, les rois, les émirs, flagorneur avec tous ses hôtes, notre cupide commerçant d’Orient eut l’audacieuse habileté de se faire une place incontournable autant dans la maison de la chrétienté que dans celle de l’islam. Passant de l’une à l’autre avec aisance, telle une ombre transparente, il put tranquillement se livrer à divers trafics.

    Il amassa ainsi une immense fortune. Une marchandise, toutefois, rapportait plus d’or que les autres. Et ce rejeton des anciens captifs de Babylone était bien placé pour le savoir. Cette marchandise, c’est l’homme.Alors, certains Hébreux se spécialisèrent dans ce commerce fort juteux qu’est la traite des esclaves.

    Ils achetaient et revendaient des esclaves blancs, qu’ils castraient au passage pour en faire des eunuques :

    « On possède surtout des informations sur le commerce des esclaves importés d’Europe, que des marchands juifs acheminaient depuis Verdun et transformaient en eunuques sur place ou dans la localité andalouse de Lucena, avant de les exporter par Almeria. » (Al Andalus 711-1492 – Pierre Guichard – p. 146)

    Voilà comment le peuple qui recueillit jadis les tables de la Loi au mont Sinaï remplit son coffre du malheur d’autrui. Et les juifs, ethnie déchue pour ses péchés, n’étaient pas les seuls à exercer cet ignoble trafic.

    Les pirates islamiques menaient, de leur côté, des raids en terre chrétienne, des expéditions à vocation esclavagiste, notamment le long des côtes du Languedoc, de Provence, de Corse, de Sardaigne, d’Italie.

    Ils ravissaient hommes, femmes, enfants, des familles entières, qu’ils ramenaient en Andalousie ou au Maghreb. Là, ils les revendaient en gros ou au détail, comme domestiques, courtisanes ou soldats, sur les divers souks de la maison d’islam. Les Arabes appelaient ces infortunés des Saqalibas, qui est une déformation du mot esclave.

    Telle était donc l’Andalousie islamique. Les indigènes espagnols étaient lentement mais sûrement décérébrés par leur statut de citoyen de seconde zone. Les esclaves blancs, païens mais aussi chrétiens, étaient traînés dans les rues avec des chaînes aux quatre membres pour être exposés au marché.

    Dans ce paradis sémitique, Arabes et Hébreux s’entendaient à merveille pour profiter de la vie. On est décidément bien loin de l’Espagne dite des trois religions, si tolérante, dont certains spécialistes oseraient encore rêver tout haut… On pourrait même inverser l’idée reçue. Que l’on songe que les Européens chrétiens, eux, n’ont jamais réduit en esclavage ni les juifs ni les musulmans, et n’auront jamais émasculé personne pour en faire un serviteur docile.

    Roch Mars – Charles Martel – Editions Pardès (2013)

    (Source)

    Esclaves chrétiens, maitres musulmans

    Source : https://blog.sami-aldeeb.com/2018/02/09/la-traite-juive-le-role-choquant-des-juifs-dans-lesclavage/

    « Lettre ouverte aux États-UnisCastration et servitude au Moyen Âge : deux bourses pour un harem »
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