• Hadj M'hamed el Anka ,Mersoul fatma

    Ya hessrah el qaadate des mariages et fetes qu'il animait .l'époque des colliers de jasmin,du basilic et du thé à la menthe .Les you you des femmes joyeusement affairées sur les terrasses ou derrière les persiennes ,les magnifiques jeunes filles ,à épier les beaux jeunes hommes .Les chaises pliantes qui pincaient les fesses et la lune,là haut qui était pleine des souvenirs de ceux qui sont partis. Le couscous que nous partagions et toutes les gateries d'amande et de miel .Une ambiance qui se gravait à jamais dans nos mémoires avec ses rires ,ces hadaouis endiablés ou les corps s'abandonnaient à la joie d'etre ensemble de vivre des moments merveilleux à en pleurer .Puis ces touchiates qui touchaient nos ames jusqu'au ciel ... Ah ! nostalgie de ...!

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  • Commentaires

    1
    Mardi 4 Mai 2010 à 14:02
    Hier !
    ….Les européens, ne comprenait pas cela, comment cela fait il, que malgré la misère au quotidien, ces indigènes arrivaient il à trouver moyen d’organiser leurs vies, leurs fêtes, leurs cérémonies presque avec faste, ils en étaient jaloux. Lors des fêtes de quartiers le matin « eldjarete » (les femmes des locataires) sont tous debout de bonne heure pour lavé à grande eaux « la douera ». Une fois cela fait les maris prépare la scène pour « el âalidjia » (les musiciens), des fleurs partout, un canapé avec des poufs, une table avec une variante de gâteaux maison, « makrout ellouz », « makrout lehssel », « tcharek » et bien sur de la confiture pour le chef d’orchestre et des fois du miel si des fois il venait à s’enrouer. Des chaises tout autour de l’entrée de la douera et les environs, des lampions de différentes couleurs, c’était magnifique. Puis soudain des you you, c’est l’arrivée du Cheikh et de son orchestre, tout le monde prend place, les meilleurs places sont déjà occupés par les familiers du cheikh et les proches de « moule elharsse » Premier accord des instruments, puis « une touchia » (prélude) généralement « Noubet Esoltane ». « nesraf » (entrée) « merilesse » (fin) puis « un âadi » et tout le monde se met à danser, honneur à celui qui apportera une note personnel dans sa danse, des youyous fusent de partout, puis un repos de quelques minutes. Reprise de la cérémonie, une voie lance « sosta ereham yaldikoum », le silence s’instaure un musicien entame une partie «d’un istikhbar », puis un autre musicien la suite de cet « istikhbar », des premières notes d’un mondole, c’est le Cheikh....
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