• Edifiant !!!


    The Foreign Ministry has launched a YouTube channel in Arabic which is meant to bypass Arab media and give Israel's version of current events directly to Arab viewers, Haaretz has learned.

    Le ministère des Affaires étrangères a lancé une chaîne YouTube en arabe qui est destiné à contourner les médias arabes et de donner la version israélienne de l'actualité directement aux surfeurs arabes, a appris Haaretz.

    The ministry's Arab media department chief Ofir Gendelman told Haaretz on Wednesday that they seek to reduce Israel's dependency on Arab media channels, who tend to give Israeli spokespersons relatively limited airtime.

    Le chef du département Ofir Gendelman du ministère des médias arabes a déclaré à Haaretz ,ce mercredi qu'elles cherchent à réduire la dépendance d'Israël sur les chaînes de médias arabes, qui ont tendance à donner aux porte-parole israéliens des temps d'antenne relativement limités.

    He also said that the amount of coverage depends on Israel's fluctuating relationship with Arab channels.

    Il a également déclaré que le temps de couverture dépendait  de la relation ,fluctuante ,entre Israël et les chaînes arabes.

    Thus, for example, Israeli spokespersons have recently shunned Al Jazeera over its allegedly unbalanced coverage of Middle East affairs.

    Ainsi, par exemple, les porte-parole israéliens ont récemment deserté Al Jazeera pour sa couverture présumée déséquilibrée des affaires du Moyen-Orient.

    Article paru sur le journal Israelite haaretz

     

    On se demande à première vue si Israel veut contourner YouTube et la quantité phénoménale de videos qui relatent ou couvrent les événement de cette zone chaude du Moyen Orient,ou contourner les medias arabes tels que El jazeera . En fait c'est Youtube qui est visé ,on l'aura compris .Donc ne pas confondre Youtube arabic (un fake de youtube finalement)qui devrait etre Youtube hebraic qu'autre chose qui preterait à confusion . Mon Dieu Faites que disparaisse la guerre sous toutes ses formes de notre planète ,et que la paix règne pour tous les pauvres bipèdes que nous sommes !

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  • Très belle chanson . Vraiment surprenante à écouter et ...danser .Pour une Algérie de bonheur et de prospérité inch'Allah .

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  • Inoubliable . Si quelqu'un pourrait le remasteriser ... quitte à faire chuter le prix de la viande ou provoquer une fatwa contre les speculateurs !

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  • 'L'Art de la guerre' de Sun Zi : le traité de stratégie militaire de référence

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    Spiritualités de chine - Art de la guerre
    Écrit par Nicolas Jucha   
    26-06-2009
    'L'Art de la guerre' de Sun Zi : le traité de stratégie militaire de référence  Mondialement considéré comme l'ouvrage de référence en stratégie militaire, «L'Art de la guerre de Sun Zi» fait partie des grands classiques chinois. Sa portée est tellement universelle qu'il est utilisé non seulement par des militaires, mais aussi des chefs d'entreprise, hommes d'affaires ou politiciens...

    L'Art de la guerre

    孙子兵法 sūn zǐ bīng fǎ

    En chinois traditionnel : 孫子兵法
    Auteur présumé :
    Sun Zi (孙子 sūn zǐ)

    Comment gagner la guerre...

    Une copie de L'Art de la guerre en bambou (crédit image : wikipedia)Communément attribué au célèbre stratège Sun Wu (plus couramment appelé Sun Zi ou Sun Tzu), «L'Art de la guerre» est le premier traité de stratégie militaire au monde aussi bien sur le plan chronologique que sur celui du prestige.

    Ecrit pendant la période des Printemps et Automnes (du VIIIe au Ve siècle avant JC), voire selon certaines sources pendant la périodes des Royaumes Combattants (Ve au IIIe siècle avant JC), l'ouvrage propose des idées aussi simples que profondes.

    La guerre étant un phénomène inévitable dans la vie d'un Etat, il est indispensable de s'y préparer au mieux : il faut connaître parfaitement ses propres forces et celles de l'adversaire, l'invincibilité dépend de soi (la préparation), mais la victoire est suspendue aux opportunités laissées par l'adversaire (ses erreurs).

    Les théories de «L'Art de la guerre» sont à l'opposé de ce qu'ont donné les guerres totales et frontales des XIXe et XXe siècle en Europe, mais ont au contraire inspiré les guérillas asiatiques de la fin de l'époque coloniale : l'objectif est de remporter la bataille en essuyant le moins de pertes possibles, on évite donc les confrontations frontales, en particulier si l'adversaire a une plus grande force, et on s'appuie sur ses faiblesses pour le faire tomber.

    Les idées du Sunzi Bingfa, nom chinois de l'ouvrage, font même preuve d'une grande subtilité quant aux méthodes pour profiter de sa victoire : l'idée est de gagner l'adversaire plutôt que de le détruire, obtenir le soutien du peuple vaincu plutôt que de le faire souffrir...

    L'histoire de «L'art de la guerre»

    Une statue de Sun Wu (Sun Zi), l'auteur présumé (crédit image : wikipedia)Si aujourd'hui, «L'art de la guerre» est constitué de 13 chapitres, il est fort probable que plusieurs parties de l'oeuvre aient été perdues. Au début de son existence, l'ouvrage aurait été transmis par voie orale, avant de l'être par écrit quelques siècles après sa création.

    Sous la dynastie Song, au XIe siècle, L'art de la guerre fut intégré à la compilation des «Sept classiques militaires» dont il fut la partie centrale. A l'image de ce que furent pendant longtemps les classiques confucéens pour les fonctionnaires et bureaucrates, «Les sept classiques militaires» et en particulier «L'art de la guerre» sont ainsi devenus la référence à connaître pour obtenir un poste militaire.

    «L'Art de la guerre» fut traduit en français et introduit en Europe sous le nom de «Treize Articles» en 1772 par Joseph-Marie Amiot, un prêtre jésuite français. Le texte est rapidement devenu incontournable et a influencé nombre de militaires occidentaux dont Napoléon.

    Visiblement invulnérable à l'épreuve du temps, l'ouvrage attribué à Sun Zi est aujourd'hui abordé dans les écoles militaires occidentales, bien qu'il se limite à de la théorie et n'offre aucune procédure précise.
    Plus qu'un traité militaire

    De par son aspect théorique ainsi que l'accent mis sur l'aspect psychologique et moral du combat, l'importance de la préparation ou encore de la connaissance de l'environnement, «L'Art de la guerre» est aujourd'hui perçu comme un ouvrage dépassant le pur cadre militaire.

    Par conséquent,il est devenu un guide pour nombre d'hommes d'affaires ou chefs d'entreprise, qu'ils soient chinois ou étrangers. Les conseils émis dans le traité sont en effet applicables à de nombreux aspects de la vie quotidienne, que ce soit sur les plans collectifs (entreprises) ou individuels (relations humaines).

    Ainsi, beaucoup d'observateurs voient en cette oeuvre une excellente source d'informations pour comprendre la pensée chinoise, et par extension le peuple chinois.

    Un ouvrage influencé par le Taoïsme et le Yijing

    Les idées du Yijing ont influencé l'auteur de L'Art de la guerre«L'Art de la guerre» est une présentation philosophique de la manière d'aborder une guerre et toute autre bataille militaire. Il est donc logique que l'auteur ait été influencé par la pensée chinoise de l'époque, et les idées entrevues dans le Yijing, et plus tard reprises dans le Taoïsme.

    L'une des idées essentielles est donc que le général militaire, s'il veut remporter la guerre, doit avant tout se mettre en phase, lui comme son armée, avec les différentes éléments qui régissent l'univers. Il ne doit donc pas forcer la nature des choses mais s'y soumettre.

    Ainsi, gagner la guerre est une question d'adaptation à la situation et de capacité à saisir les opportunités quand elles se présentent plutôt que d'imposer sa force. Le général doit adapter ses soldats et sa stratégie aux circonstances (terrain, climat, adversaire, moral, moyens disponibles...).

    Dans la même idée que «la fluidité de l'eau l'emporte sur la rigidité de la pierre», le Sunzi Bingfa nous explique que la victoire appartient à l'armée la plus mobile. Les sièges ou autres batailles de positions sont à proscrire car débouchent sur l'affaiblissement des deux camps.

    La manière de s'exprimer de l'auteur de «L'Art de la guerre» est donc fortement influencée par sa pensée taoïste. A titre d'exemple, l'image qu'il donne du général idéal s'apparente à celle d'un sage taoïste, prêt à s'adapter au Dao et totalement désintéressé par les honneurs mondains.

    Les idées du Sunzi Bingfa

    Une oeuvre de référence (crédit image : wikipedia)Si «L'Art de la guerre» résiste sans peine à l'épreuve du temps en n'offrant que des théories et aucune solution réellement pratique, c'est parce qu'il regorge d'idées finalement très subtiles et indémodables.

    Premièrement, le Sunzi Bingfa considère la guerre comme une question essentielle de la vie d'un Etat : c'est une situation inévitable, il faut donc s'y préparer au mieux, car la victoire n'est pas une question de hasard, de chance, ou de protection divine, mais de stratégie.

    Deuxièmement, et cela explique peut être son efficacité, «L'Art de la guerre» n'aborde pas la guerre sous un angle idéaliste. L'auteur ne cherche pas les honneurs sur le champ de bataille, simplement la victoire.

    Il exclut donc toutes les batailles de prestige en situation d'infériorité ou les sacrifices héroïques : le général parfait doit être prêt à contredire son souverain si celui-ci lui donne un ordre irréalisable, il ne se lance dans la bataille que s'il est assuré de la remporter.

    Pour cela, il doit accorder une grande importance à sa préparation, connaître ses forces comme celle de son adversaire, s'adapter à l'environnement et au climat, et ne pas hésiter à utiliser la ruse, l'espionnage ou encore la fuite pour brouiller les pistes.

    Enfin, «L'Art de la guerre» n'aborde pas le conflit militaire comme un objectif de destruction, mais plutôt comme une méthode d'expansion politique. L'ouvrage prône ainsi de ne partir en guerre que pour une cause moralement juste (conforme au Dao), de ne pas trop exploiter les ressources de l'Etat pour conserver le soutien du peuple, et surtout, d'essayer de conquérir l'ennemi sans lui infliger de dégâts trop importants.

    «L'Art de la guerre» voit donc plus loin que le conflit. Il encourage ainsi à se concilier le peuple des territoires conquis au lieu de le maltraiter, de considérer l'adversaire d'aujourd'hui comme le sujet de demain.

    Dans la méthode à suivre pour s'imposer, l'ouvrage accorde une place primordiale à la psychologie. Outre avoir une cause juste à défendre, il est nécessaire que les leaders soient exemplaires et maintiennent un équilibre juste entre les punitions et récompenses : ce facteur est essentiel pour préserver le moral et la discipline des troupes.

    Cette approche psychologique ne concerne pas que ses propres forces selon «L'Art de la guerre» : il faut également s'arranger pour que l'adversaire ne puisse se battre avec tout son coeur. Pour cela, l'une des techniques les plus efficaces consiste à laisser une possibilité de retraite aux soldats adverses : sans cette possibilité de s'enfuir, l'adversaire se bat pour sa vie avec la force du désespoir, ce qui le rend particulièrement dangereux.

    La dernière grande idée du Sunzi Bingfa est la patience. Le général doit préparer la bataille avec minutie, afin de maîtriser l'ensemble des paramètres, mais ces précautions ne suffisent pas à s'assurer de la victoire, seulement de l'invincibilité de son armée.

    Pour l'emporter, le général idéal doit être capable de provoquer ou attendre l'erreur adverse, puis de l'exploiter au moment opportun.

    Les 13 chapitres de L'Art de la guerre

       1. De l'évaluation (始計, Shǐjì)
       2. De l'engagement (作戰, Zuòzhàn)
       3. Des propositions de la victoire et de la défaite (謀攻, Móugōng)
       4. De la mesure dans la disposition des moyens (軍行, Jūnxíng)
       5. De la contenance (兵勢, Bīngshì)
       6. Du plein et du vide (虛實, Xūshí)
       7. De l'affrontement direct et indirect (軍爭, Jūnzhēng)
       8. Des neuf changements (九變, Jiǔbiàn)
       9. De la distribution des moyens (行軍, Xíngjūn)
      10. De la topographie (地形, Dìxíng)
      11. Des neuf sortes de terrains (九地, Jiǔdì)
      12. De l'art d'attaquer par le feu (火攻, Huǒgōng)
      13. De la concorde et de la discorde (用間, Yòngjiàn)

    L'Art de la guerre de Sun Bin

    Dans les années 1970 ont été retrouvés dans des tombeaux de la dynastie Han des rouleaux de bambous contenant le traité militaire «L'art de la guerre de Sun Bin ». Il s'agit là d'une oeuvre comparable à «L'Art de la guerre de Sun Zi».

    Jusqu'à cette découverte, de nombreux doutes existaient, à savoir si les deux Arts de la guerre était un seul et même livre, et surtout, qui en était l'auteur. Aujourd'hui, la distinction existe clairement entre les deux documents :
    -le Sun Zi (孫子), également appelé Sun Wu Bingfa (孫武兵法) attribué à Sun Wu, datant de la fin VIe-début Ve siècle av. J.-C.

    -le Sun Bin Bingfa (孫臏兵法) également appelé Qi Sun Zi (齊孫子), attribué à Sun Bin, datant du IVe siècle av. J.-C.

     

    Source : http://www.icilachine.com

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